
« Avec l’élection de Donald Trump, une période de forte incertitude s’ouvre sur la politique climatique des Etats-Unis. » Alden Meyer, le directeur du think tank américain Union of Concerned Scientists (UCS), présent mercredi 9 novembre au Maroc pour la 22e conférence climat, ou COP22, est inquiet. « Cette annonce va avoir un effet psychologique indéniable, même si elle ne devrait pas bloquer la session de travail de Marrakech », estime cet expert en stratégie climat. « L’élection de Trump est un désastre, mais ce ne peut être la fin du processus climatique international », veut croire May Boeve, de l’ONG américaine 350.org, à l’origine de la campagne mondiale de désinvestissement dans les énergies fossiles qui réchauffent la planète.










